Quels sont les objectifs de l’analyse budgétaire ?

Quels sont les objectifs de l’analyse budgétaire ?

10 février 2022 0 Par Zozo

Fondamentalement, l’analyse des états financiers a pour objectif premier de faciliter et de simplifier la lecture de la dynamique comptable de la gestion antérieure de l’entreprise afin de favoriser la comparaison spatio-temporelle des données monétaires élaborées à travers la reclassification des prospectus.

A quoi sert l’analyse du bilan par indices ?

L’analyse des états financiers par indices, ou analyse des ratios est une technique d’enquête visant à élaborer les informations contenues dans les états financiers afin de comprendre l’évolution, l’état de santé et les scénarios futurs d’une entreprise.

Quelles sont les classes dans lesquelles les ratios de bilan sont divisés ?

  • Indices des états financiers et analyse de rentabilité
  • ROI (Return On Investment) Représente la rentabilité du cœur de métier par rapport au montant total du prêt à l’entreprise
  • ROE (Retour sur fonds propres) …
  • ROS (retour sur ventes) …
  • ROA (Retour sur actifs) …
  • AT (Rotation des Actifs) …
  • Effet de levier

En quoi consiste l’analyse budgétaire ?

L’analyse budgétaire est un outil permettant d’interpréter de manière critique les données de l’entreprise par une expertise d’un comptable Saint-Gilles. Découvrez comment créer facilement et automatiquement des rapports. L’analyse des états financiers est une procédure permettant d’interpréter les données des transactions dans une clé financière, de capitaux propres et économiques.

La tendance économique générale peut affecter la dynamique des entreprises et, surtout dans une perspective à moyen-long terme, elle doit être prise en compte. Une crise comme celle qu’a connue la dernière décennie, par exemple, affecte sans aucun doute les tendances de développement et, par conséquent, la rentabilité.

Un autre aspect à considérer est représenté par l’horizon temporel des cycles de production, qui peut engendrer des délais importants entre le moment où l’investissement est réalisé et celui où sa rémunération est appréciable.

Comment se fait l’analyse budgétaire ?

L’analyse des états financiers se divise essentiellement en deux phases. Une première, de nature technique et une seconde, de nature interprétative. La phase technique consiste à acquérir les informations utiles et à les ordonner selon une logique cohérente par rapport aux finalités cognitives à poursuivre. Le document de départ pour l’analyse des états financiers est le bilan qui est généralement divisé en 5 macro-catégories. Les actifs sont constitués d’immobilisations et d’actifs circulants ou courants, de passifs de capitaux propres, de dettes à moyen/long terme et de passifs courants.

Quels sont les indices de structure ?

Le « premier indice de structure », donné par le rapport entre les capitaux propres et les immobilisations, c’est-à-dire par CP/AF et indique quelle part du besoin financier généré par les immobilisations est couverte par les capitaux propres ; cet indice devrait prendre, au moins à long terme, des valeurs proches de l’unité.

Les objectifs de l’analyse de rentabilité

L’analyse du compte de résultat vise à vérifier la capacité d’une entreprise à produire des revenus suffisants pour couvrir ses coûts et générer des bénéfices, dans une mesure qui maintient un équilibre justifiant les investissements réalisés : le but, en substance, est de mesurer la rentabilité « .

La rentabilité a tendance à être un concept contingent, car elle est liée à divers facteurs, notamment : la propension au risque ; le niveau d’endettement ; le montant et la qualité du capital investi ; le contexte de référence ; la tendance économique générale ; l’horizon temporel ; la qualité des revenus.

Le premier élément à considérer est que la rémunération doit être proportionnée au risque pris pour entreprendre une initiative donnée. De manière globale, plus le risque que vous prenez est grand, plus le rendement devrait être élevé, même s’il n’y a pas de relation constante entre les deux variables. La propension à faire des investissements plus ou moins « au hasard » est en effet liée à des éléments difficilement mesurables, tels que : l’orientation stratégique, le positionnement marché, les caractéristiques du secteur, le style de leadership, etc.

Deuxièmement, la rémunération doit tenir compte du niveau d’endettement. En cas de recours au financement par un tiers, la direction doit permettre, avant de rémunérer les fonds propres, de rembourser celui emprunté. Cela signifie que la rentabilité doit être telle qu’elle satisfasse à la fois les créanciers et les actionnaires.

Un autre facteur à considérer est le montant et la qualité du capital investi. Les revenus doivent en effet pouvoir rémunérer les emplois de façon proportionnelle. En termes quantitatifs, plus ils sont élevés, plus le rendement doit être élevé ; un résultat économique de 10 € peut être appréciable s’il est obtenu avec un investissement de 100 € (rendement de 10 %), modeste s’il est obtenu avec un investissement de 1000 € (rendement de 1 %).